Tout le monde est concerné par la coopération : responsable d’une équipe, d’un service ou d’une organisation, parent, indépendant∙e, collaborateur∙trice, étudiant∙e, artiste, etc.
Nous rencontrons des problématiques et des défis quasiment identiques lorsque nous nous retrouvons à œuvrer ensemble dans un groupe, une organisation, une famille. Certaines habitudes figées sont présentes en chacun∙e de nous et influencent toutes nos manières d’être et de faire. Elles nous freinent voire nous empêchent d’accéder à ce que nous regroupons sous le terme de « coopération ».
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Notre société et nos organisations fonctionnent selon des habitudes et des processus culturels hérités de notre passé guerrier et industriel, où la survie et la compétition sont centrales.
Voici quelques exemples :
- Quand nous sommes confrontés à un problème, nous cherchons instantanément une solution. C’est un réflexe. Ceci a participé à construire la société occidentale dans laquelle nous vivons aujourd’hui.
- Notre économie est basée sur la concurrence et sur la course à la création d’une solution meilleure que celle de son concurrent. À l’interne des organisations, on s’élève dans la hiérarchie en cherchant à produire de meilleurs résultats que ses collègues.
- Les personnes les plus haut placées dans la hiérarchie organisationnelle sont celles qui ont le plus d’impact par leurs décisions.
- Les institutions s’organisent en secteurs intriqués les uns dans les autres, ayant chacun des objectifs propres.
En résumé, nous avons pour habitude de nous concentrer sur les problèmes, puis sur les solutions pour les résoudre ; nous nous spécialisons afin d’optimiser les solutions et innover. Ce mode de fonctionnement est efficace pour croître et se développer techniquement. Ceci nous a permis de sortir de la précarité et d’atteindre l’abondance matérielle.
Il y a aussi une part d’ombre à ce tableau, car ces manières de fonctionner ignorent les limites et épuisent les ressources, humaines et environnementales. Ce paradigme de survie crée un sentiment d’insécurité qui pèse sur les individus. La recherche constante de la solution disponible la moins coûteuse brûle les ressources et diminue la qualité de la production. Les processus et règles rigides menacent la motivation des collaborateurs∙trices. La hiérarchie rigide et la spécialisation créent un sentiment d’isolement et d’impuissance chez les employé∙e∙s.
Coopération en action
L’Art de la Coopération est un moyen permettant de transformer la culture d’une équipe par l’équipe elle-même, apportant agilité et efficience.
L’Art de la Coopération permet à tout collectif de consolider de l’intérieur sa confiance et sa motivation, qui sont le ciment et la force d’une équipe.
Video Cooperation en action
Vous vous demandez…
Est-ce que le participatif, ça marche ? J'ai entendu que c’était bien au début, puis que rapidement, il y a des tensions et les gens se démobilisent !
Comment apporter de la confiance dans nos équipes, faire que tout le monde tire à la même corde ?
Je suis intéressé∙e aux nouvelles pratiques, mais où trouver des repères ?
Comment éviter toutes ces séances ? Je n’en peux plus...
Si ces questions vous sont familières, l’Art de la Coopération propose un ensemble d’outils permettant de transformer la culture d’une équipe par l’équipe elle-même, apportant agilité et efficience.
Nos services
L’Art de la Coopération permet à tout collectif de consolider de l’intérieur sa confiance et sa motivation, qui sont le ciment et la force d’une équipe.
L’Art de la Coopération agit à n’importe quel stade du cycle de vie d’un groupe ou d’une organisation et vous permet de revisiter votre posture ou étoffer vos compétences et savoir-faire.
L’Art de la Coopération s’adresse à :
Un groupe constitué ou en émergence (entreprise, institution, collectif, association, famille, …)
Une personne (entrepreneur∙euse, manager, enseignant∙e, indépendant∙e, parent, …)